Une victime de cyberharcèlement se sent rabaissée et perd rapidement confiance en elle.
Ensuite elle s'isole.
Enfin elle porte un poids psychologique constant et déprimant.
L'information se propage plus rapidement et plus largement en ligne que hors-ligne à cause de :
- La technologie (ordinateurs, tablettes, smartphone)
- Les différents réseaux sociaux (Facebook, instagram, snapchat...)
- Le comportement des membres de son groupe auquel on appartient
Le sentiment d'impuissance et de solitude face à son écran empêchera la victime d'appeler à l'aide ou de porter plainte.
Enfin, l'éventuel anonymat de l'agresseur peut lui donner un sentiment d'impunité de son côté de l'écran.
Les harceleurs qui agissent en ligne le font parce qu'ils peuvent se cacher derrière leur ordinateur ou appareil mobile sans affronter directement leur victime grâce à un pseudo ou directement. L’anonymat des internautes peut aussi entrainer un phénomène de meute au détriment de la victime. Les agresseurs se sentent valorisés dans ces échanges.
On peut :
Pour prévenir le cyberharcèlement :